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il y a 3 ans
Une histoire érotique de pony-girl
Hélène court depuis une heure dans la carrière qui jouxte l'écurie. Elle reproduit comme chaque jour à la même heure les exercices qui lui sont imposés. De petits galops de 5 minutes entrecoupés de trottinements et de marches à petite allure. C'est son lot quotidien depuis près d'un an maintenant et, si dans les premier temps elle eut de la peine à s'habituer, elle ne peut aujourd'hui cacher son plaisir de courir nue hormis ses bottines qui lui cambrent exagérément les jambes et de sentir le souffle du vent fouetter sa peau.
Après cet échauffement elle poursuivra l'apprentissage de la reprise qu'elle doit présenter le mois prochain. Elle devra montrer sa dextérité à manœuvrer un sulky entre des obstacles divers sous les ordres de son maître. Régulièrement elle présente devant un parterre choisit une reprise dont la difficulté va croissant. Elle se souvient avec émotion de ces débuts, quand son maître se contentait de la laisser trotter dans la carrière. Elle apprenait alors à porter ses bottines spéciales dont il l'avait affublé, bottines qui lui cambraient exagérément les mollets, dépourvues de talons de sorte que tous son poids portait sur la partie avant du pieds.
Les heures d'entraînement qui lui sont imposées quotidiennement ont sculpté sa musculature et seuls ses seins traités par divers procédés tant chimiques que mécaniques paraissent disproportionnés sur son torse. Il est vrai que son maître, sans être un amateur de seins gargantuesques aime néanmoins les mamelles fortes qui balancent au gré de ses courses.
Afin de la manœuvrer lorsqu'elle est attelée au sulky, ses tétons sont traversés par d'épais anneaux en acier bleuis par lesquels passent les rênes et il n'est pas rare qu'après une journée de travail, ces derniers soient à ce point blessés qu'ils saignent. Son maître au contraire d'autres propriétaires de juments humaines, n'apprécie pas le mors parce que prétend-il, la bouche d'une femelle ne se prête pas aussi bien à ce traitement que la bouche d'un cheval.
Sa vulve est aussi ferrée par une série d'anneaux entrelacés qui d'une part ont pour effet de lui clore le sexe, mais qui servent également à lui assujettir le système de fixation du timon du sulky.
Le timon comporte une excroissance verticale qui est introduite dans son vagin tandis que de part et d'autre de cette excroissance sont disposés des anneaux qui reliés à ceux de sa vulve permettent d'assurer une stabilité verticale du sulky en maintenant serré le timon contre la vulve. L'extrémité du timon se poursuit par une deux tiges d'acier garnies de cuir épais qui se recourbant viennent prendre appui sur le bas ventre permettant l'effort de traction sans risquer de déchirer les grandes lèvres et le con.
Les premières fois que son maître a inséré cette espèce de gode dans son vagin elle a cru qu'elle allait être définitivement déchirée et distendue tant la chose était disproportionné alors que le poids du sulky qui avait beau être parfaitement équilibré sur les anneaux des lèvres au point de les distendre douloureusement. Très vite pourtant elle appris à se servir de deux bandes d'acier en s'appuyant dessus afin de détendre la pression exercée par son appareillage.
Parce que son dressage est en voie d'être achevé, son corps ne porte quasi plus de marque de fouets ni de coups de cravaches. Il est passé le temps où tous les jours il fallait la punir pour les multiples fautes qu'elle commettait. Elle est fière de te réussite et fait tout ce qu'elle peut pour parvenir à la perfection.
Voilà un an que sa vie a basculé, elle avait alors 23 ans. Elle vivait parmi les chevaux depuis sa tendre e n f a n c e , ces parents étant propriétaire d'un manège, et jamais elle ne ratait un évènement touchant à l'art équestre. Lorsque une exposition itinérante sur le monde du cheval avait été annoncée dans sa petite ville de province, elle avait attendu avec impatience son arrivée et s'était précipitée pour admirer les œuvres présentées. Une série de photos l'avait attirée et elle avait été particulièrement émue par la vision de ces animaux magnifiques, aux naseaux fumant, à la robe moussue de transpiration et parés de courroies de cuir qui découpaient le corps et le visage. Le photographe était littéralement parvenu à sculpter le corps des animaux en jouant subtilement avec la lumière.
Admirative devant chacune, excitée aussi par ce spectacle, Hélène parvenait à peine à cacher son plaisir. Le photographe, Robert, amusé par son comportement s'était présenté à elle. Celui que depuis elle appelait Maître avec respect et dévotion, celui qui avait fait d'elle ce qu'elle était aujourd'hui, une jolie pouliche heureuse. Ils avaient commencé par échanger les banalités habituelles à propos des photos présentées. Très vite Hélène avait ressenti une impression étrange au contact de l'homme au charme et au magnétisme certain. Leur conversation s'était poursuivie un bon moment, Hélène se laissant peu à peu subjuguer par Robert.
Cette première rencontre ne pouvait rester sans suite mais le temps ayant passé, Hélène avait dû partir non sans obtenir la promesse qu'ils se reverraient prochainement. Hélène avait donc été à moitié surprise de voir Robert arriver au haras de ses parents. Il avait obtenu de pouvoir faire quelques photos d'un des chevaux les plus en vue du moment et dont justement ses parents étaient les propriétaires. Hélène émue ne douta pas un instant que les photos en question n'étaient en fait qu'un prétexte pour la retrouver.
Ses parents, tout content de trouver une hôtesse pour Robert avait chargé Hélène de lui faire faire le tour du propriétaire et de le conduire à Hurricane, ce superbe étalon dont tout le pays parlait depuis ses récentes victoires en Grand Prix. Pendant qu'Hélène lui faisait faire le tour de la propriété, Robert amusé, tout occupé à préparer son matériel photo n'avait pas manqué d'observer l'état d'excitation de la jeune fille qui les joues rouges, était-ce la chaleur, décrivait en long et en large tout ce qu'ils voyaient. Dès qu'ils s'arrêtaient, tout était prétexte pour qu'elle s'approche de lui, qu'elle le touche et plus d'une fois il n'aurait eu qu'à tendre les lèvres pour qu'elle l'embrasse sauvagement. Pourtant, si la jeune femme l'attirait, c'était indéniable, Robert ne la voulait pas simplement à lui, il la voulait totalement.
En prédateur qu'il était, il avait déjà discerné en elle les germes de l'esclavage auquel très vite il avait décidé de la soumettre. Instinctivement, il savait que d'ici peu elle s'offrirait corps et âme et qu'elle subirait sans rechigner sa volonté. Ils sont enfin parvenus aux écuries. Comme si elle cherchait à éviter l'inévitable Hélène tarde à se diriger vers le box d'Hurricane. Elle parle des chevaux qui s'y trouve, de Belle, sa jument préférée, de son poulain né il y a juste 6 mois. Ses mains se posent sans cesse sur les bras de Robert en quête de contact, frissonnants tandis que son regard ne parvient que difficilement à cacher la fièvre qui l'étreint. A plusieurs reprises Robert s'est pris à la photographier, cherchant à saisir sur la pellicule l'un ou l'autre détail, comme ce sein qui sous les gestes un peu vifs parfois de sa propriétaire ne demande qu'à jaillir du corsage, ou cette cuisse dénudée quasi jusqu'à l'aine lorsqu'elle s'est penchée pour caresser son poulain.
Inconsciente ou non, Hélène continue son marivaudage jouant de ses yeux et de sa bouche, dévoilant sans vergogne petit à petit ce corps qu'elle a si peu offert. Elle se sait belle et désirable, elle le voit dans le regard de Robert et en est émue.
Il ne lui a pas été facile de s'habituer à son box. Elevée dans une famille aisée elle eut de la peine à concevoir dans un premier temps qu'une partie de son univers se résumerait à la paille étendue sur une dalle de béton, à des murs cimentée et qu'elle était emprisonnée par une grossière porte de bois à deux vantaux. Elle s'était retrouvée, de par sa volonté, plongée du jour au lendemain dans un univers tel que même si elle avait fantasmé au point de l'imaginer, il lui était difficile de le vivre. Sa première nuit avait été pénible quand devant uriner, elle n'avait trouver d'autre alternative après avoir appelé pendant un temps qui lui avait paru infini que de s'accroupir dans un coin et de se vider. Elle avait désiré devenir animal, mais rarement elle ne se l'était sentie autant.
...........
Elle s'était essuyée avec un peu de paille ramassée à ses côtés. Au petit matin, transie de froid, son maître puisque c'est ainsi que dorénavant elle l'appellerait l'avait sortie de son box pour la passer à la douche comme il le lui avait annoncé. Toute heureuse, elle l'avait suivit pour rapidement déchanter. La douche n'était en fait qu'une méchante aire de béton le long de l'écurie avec un avaloir au centre, un tuyau d'arrosage et quelques crochets pour y attacher la bride fixée au licol que depuis hier elle portait. Le jet d'eau glacée l'avait surprise tant par sa v i o l ence que par sa froidure qui la figea dans un long gémissement. Comme dans un jeu Robert s'était amusé un temps à chercher les endroits de son corps particulièrement sensibles s'attardant sur les seins déformés par la puissance du jet pour finir sur son sexe dont les lèvres s'ouvrirent sous l'intrusion liquide. Glacée, Hélène grelottait sans faire un geste. Ce n'est que plus tard, lorsque Robert procéda à son pansage en frottant énergiquement ses fesses, ses cuisses, son ventre et son dos avec l'étrille qu'elle commença à sentir une douce chaleur l'envahir. Elle frémit de plaisir et de honte partagée quand il examina sa vulve et son anus afin de s'assurer de leur parfaite propreté et le rouge lui monta au front quand ayant délicatement écarté grandes et petites lèvres il lui avait introduit un écouvillon afin de perfectionner le toilettage entrepris.
A sa demande, elle s'était ensuite penchée saisissant avec ses mains ses chevilles afin de lui permettre d'accéder commodément à son anus afin de le visiter de même. Ses cheveux retombant sur son visage lui avaient permis de cacher la v i o l ente rougeur qui l'avait alors embrasée lorsque l'écouvillon avait pénétré son cul et délicatement ramoné ses sphincters. Il s'attarda ensuite sur sa chevelure la brossant longuement pour la rendre soyeuse et termina en toilettant son pubis avec une petite brosse dure. Durant tous ses soins, elle n'avait pas proféré un mot, il lui avait d'ailleurs expliqué que devenue femme cheval, elle n'aurait plus le droit de parler mais elle avait jouit de cet avilissement. Et Robert n'avait pas manqué de le remarquer au bref tressaillement, comme vibration, une tension qui avait parcouru son corps.
Maintenant, Elle avait totalement assimilé sa nouvelle condition et acceptait sans rechigner le toilettage auquel elle était soumise tous les jours. Assez vite elle avait même éprouvé le même plaisir avec le lad engagé par son maître qui souvent s'occupait d'elle. Non seulement, elle y prenait tout autant de plaisir qu'avec son maître, jouissant souvent au cours de son toilettage et il n'était pas rare qu'elle ne puisse retenir un sourire en remarquant la bosse qui affublait le bas ventre du lad alors qu'il s'occupait de ses soins corporel.
La première fois que son maître lui avait présenté le jeune homme, elle n'avait pu réprimer un mouvement de refus vite réprimé par quelques coups de cravache en travers des seins. Son maître avait détaillé les pouvoirs du jeune homme lui interdisant seulement tout contact d'ordre sexuel. Elle imaginait sa frustration, elle nue, offerte totalement et lui qui avait l'interdiction formelle de l'utiliser. Ces droits allaient jusqu'à pouvoir la fouetter ou la cravacher à la moindre incartade dans le but de la dresser et il est vrai que les premiers temps il ne s'en privait guère, prenant prétexte du moindre faux pas pour abattre le fouet sur son corps offert.
Quel chemin parcouru depuis les photos d'Hurricane alors qu'enfin ils étaient entrés dans le box…
Accroupie et penchée pour examiner sa jambe antérieure, elle avait ressenti le souffle de Robert dans son cou. Se retournant doucement vers lui, la bouche entre ouverte, elle n'avait pu résister au baiser qui l'avait f o r c é e. La langue de l'homme avait pris possession de sa bouche impérativement et en une fois elle s'était abandonnée aux sensations qui l'avaient envahies. L'odeur de la paille, du cheval, la vision de la verge de l'étalon à demi turgescente, le contact du mâle et le goût de sa salive dans sa bouche, furent telles qu'à l'instant elle voulu qu'il la prenne, à même le sol, entre les jambes du cheval qui nerveusement tapait du sabot.
Tout à ses exercices quotidiens et tout en trottinant elle se remémorait avec passion l'étreinte qui avait suivi tandis que son sexe étroitement fermé par les anneaux qui le garnissaient, se trempait à chacune des ces évocations. Sauvagement, la troussant sans vergogne, Robert l'avait renversée dans la paille et se dégrafant d'une main l'avait pénétrée d'une seule poussée de sa verge tendue et gonflée par tous les agacements dont elle l'avait taquiné depuis qu'ils avaient quitté ses parents une heure auparavant. Elle avait jouit instantanément serrant convulsivement ses jambes autour des hanches de Robert de sorte à permettre une pénétration profonde. Elle voulait être défoncée et les coups de butoir de l'homme la comblaient d'aise alors qu'elle enchaînait orgasme sur orgasme.
Après un temps qui lui avait paru interminable, il s'était vidé en elle. Après s'être rajusté et relevé, il avait entrepris de la photographier au pieds du cheval… Il s'était attardé sur sa vulve offerte, ses seins qui sous l'effort avaient jaillis de son corsage malmené. Fini l'aine dévoilée accidentellement, fini la gorge offerte dans un halètement, il exigeait sans plus qu'elle exhibe son corps et avec une pointe sarcastique, il lui avait assené un : « Belles photos qui ne dépareront pas mon exposition…».
Il ne manquerait que les brides de cuir se dit-il.
Il se faisait fort de les lui voir porter peu après. Après un moment elle aussi s'était rajustée, ramenant de l'ordre tant bien que mal dans ses vêtements quelque peu malmenés. Il lui réclama son tanga souillé qu'il empocha nonchalamment et souhaita plus qu'elle n'en porte plus afin que son ventre reste nu et disponible pour lui.
Peu de temps après, ils se retrouvèrent près de ses parents, elle attentive à cette sensation doublement étrange, se retrouver devant son père et sa mère avec son amant de quelques instant et surtout le ventre inhabituellement nu. Lorsqu'il l'appela le lendemain, elle était prête.
Quoiqu'il lui demande, elle l'accepterait. Il voulait la photographier, pas simplement des nus obscènes comme ceux de la veille, mais des nus d'arts, photos sur lesquels sont corps serait magnifié par les lanières de cuir sous des éclairages sophistiqués qui mettraient en valeur son corps huilé.
Bruno
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